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Le Sport dans tous ses états…

La gouvernance, le financement du sport « Elite ou masse » sur toutes les lèvres dans tous les esprits à une époque où la crise menace et où les aident diminuent!? Faut il être résignés? Bien au contraire faire entendre sa voix pour défendre  le sport et ses couleurs…En un mot : mouiller son maillot pas seulement à la table mais lors de réunions multiples en espérant qu’elles soient utiles! Dernièrement et pour la première fois le Vice Président de la Région défendait son rapport  avant de passer dans quelques jours à l’étude du budget qui sera certainement difficile. le Président du CROS avait mobilisé ses troupes pour être aux côtés de François BONNEAU et Mohamed MOULAY, montrant ainsi la force du sport en Région. Une cinquantaine de bénévoles de différentes disciplines étaient présents dans l’hémicycle. Bruno SIMON avec ses trois casquettes(4S, Ligue, CROS) était à Orléans..Ici aux côtés de Patrick LOTTE, Directeur des sports de la Région et de Daniel VILLAIN, Directeur Adjoint DRJSCS.

Billet d’humeur de Georges…

Tous coupables.

Fin juin 2018 s’est tenu à la 4S un colloque sur la relation entre les formations techniques et le développement, avec la présence de Christian Gaubert, DTN adjoint en charge des formations techniques et Béatrice Palierne, DTN adjointe au développement. Toutefois, je tiens à dire dès maintenant que ce qui suit n’est pas le compte- rendu de ce colloque mais le fruit de réflexions personnelles et d’autres glanées de ci de là, selon mon habitude. Je dirai seulement au passage que le choix s’était porté sur la 4S en raison de son engagement dans tous les secteurs du développement et de sa grande expérience dans les domaines de l’initiation, de l’animation et du perfectionnement technique, secteurs visés par les trois diplômes que la FFTT proposera dès cette rentrée 2018-2019. Voici maintenant ce que disait en 2014 le président fédéral Christian Palierne à l’ouverture du congrès fédéral. “ …Mais tout aussi surprenant est la baisse constante des formations à des diplômes d’entraîneurs fédéraux passant en huit ans de 1237 à 711 cadres formés. Alors que ces formations sont la base nécessaire à la vie, à l’évolution d’un club, à notre dynamique fédérale…il ajoute plus loin…et une baisse inquiétante de notre formation tant en diplômes d’état qu’en diplômes fédéraux. Avec cette baisse, le principe de transmission de notre savoir, le principe de pérennité de nos associations sont tous remis en question et nous handicapent fortement et durablement pour notre avenir;” Si la réforme fédérale va dans le bon sens, elle ne résout pas le problème de la baisse des vocations et nous pouvons nous demander comment nous en sommes arrivés là, alors que dans les années 80 la fonction jouissait d’un prestige tel qu’il fallait établir des listes d’attente et souvent la doubler voir la tripler. Bien entendu, de bonnes âmes balaient cette question d’un revers de main en mettant en avant l’égoïsme de notre époque. Mais ne sommes-nous pas coupables d’avoir découragé les bonnes volontés? Sont coupables les dirigeants et les joueurs qui considèrent que l’essentiel se déroule dans l’équipe première et que la formation des jeunes est une activité secondaire, voire un mal nécessaire car, sans les jeunes, on n’accède pas à certains niveaux du championnat par équipe; se sont-ils seulement demandé ce qui fait la renommée du club dans la commune, son action éducative ou des performances toutes relatives? Coupables la plupart des adultes qui, refusant des se plier à des entraînements dirigés et structurés, ont contribué à déprécier le travail de l’entraîneur en le confinant au domaine des enfants. Coupables les dirigeants qui ne veulent pas voir que cette activité est accaparante car l’entraîneur est à la fois éducateur, coach, organisateur de déplacements, responsable d’équipes, relanceur; responsable de mineurs…ces mêmes dirigeants ne faisant rien pour l’encourager, le récompenser, lui reconnaître sa vraie place dans la hiérarchie du club et parfois le laissant se décourager en ne bougeant pas le petit doigt pour l’aider. Coupables des Directions Techniques Nationales qui, au prétexte de mettre les diplômes à la portée du plus grand nombre, allant jusqu’à supprimer les examens, ont tellement simplifié les formations qu’elles en deviennent inefficaces sauf si le candidat a eu la chance d’être formé dans un club structuré ou s’il a la volonté d’aller chercher le savoir dans ce club. Coupables les joueurs qui, au prétexte qu’ils ont un classement élogieux, s’estiment au-dessus des entraîneurs et tout aussi coupables les licenciés qui pensent qu’il suffit de bien jouer pour bien entraîner. Coupables les clubs qui envoient en formation des gens qui ne peuvent pas entraîner en raison d’une technique personnelle rudimentaire; j’ai ainsi croisé des stagiaires incapables de diriger correctement la balle, parfois même de la mettre sur la table. Coupables également tous ceux qui suivent les stages d’entraîneurs mais qui n’entraîneront jamais ou abandonneront au premier prétexte venu. Coupables également un nombre important de pongistes pour qui le tennis de table n’existe que par la compétition et ses résultats car comment imaginer qu’un entraîneur de club à petits moyens puisse se motiver quand il sait que les performances sont trustées par le clubs professionnalisés?; malheureusement, bien peu sont enclins à assigner d’autres missions au sport. Je m’en tiendrai là. Le président a tiré la sonnette d’alarme. Si nous ne sommes pas capables de changer nos mentalités pour revaloriser le rôle de l’entraîneur, alors on peut se faire des soucis. GB.

A votre service…

En liaison avec la DDJSCS d’INDRE et LOIRE, la 4S Tours vient de recruter deux jeunes volontaires en service civique. Ils seront parfois dans la salle mais aussi pour travailler sur la communication. On souhaite la bienvenue à JEREMIE et MATTHIS (de gauche à droite sur la photo)… il se peut qu’avec Jérémie entre deux balles de ping on entende un peu de musique lors de nos évènements ou pendant les stages…Un troisième en lien avec l’ESCEM devrait nous rejoindre en janvier!

Notre mission est régulière et se retrouve régulièrement sur le site du service civique…Culture du Ping, Culture du Club…

Les anciens se mettent à table

Sous la houlette d’Antoine (bistounet pour les intimes) , les toujours jeunes seniors se retrouvent régulièrement pour faire du sport  leur rythme. Entre 3 et 10 pongistes de ….à 93 ans jouent régulièrement le vendredi matin à partir de 11h00. Ils ont marqué dernièrement une pause et étaient invités par Christophe BOUCHET, Maire de Tours, à animer le repas des anciens du CCAS et devant 900 personnes au Centre du Congrès de Tours du Vinci, Yves LAINE notre doyen et chichi ont amusé nos ainés. Une opération séduction pour notre club afin de prouver,  si besoin était, les bienfaits du sport pour se maintenir en forme à tout âge! L’occasion aussi de faire jouer les convives et de retrouver un de nos anciens, Marcel METAIREAU, le papa de Nicolas!

Pour le meilleur des Piret…

Le Jeu de famille Piret…

Dans la famille Piret je voudrais le père… Samuel. Il est encore numéroté N900 actuellement même s’il ne joue plus pour mieux se consacrer à sa reconversion professionnelle et à sa famille.

Il est arrivé en France en 2008 grâce au tennis de table. En effet, il a participé aux jeux de la francophonie, au championnat du monde par équipes (Croatie, Brême,…), au championnat du monde en France en 2013. Puis il a été champion de Madagascar en 2007. Il a rejoint le club de Morez-Jura et contribué à la montée progressive du club de la pré-nationale jusqu’à la N1. Il arrête avant la montée en PRO B.

Ensuite, je voudrais les enfants… Ils sont nés à Madagascar et sont arrivés en France en 2010 où Ils ont commencé à jouer. L’aîné Miaro a 15 ans, avec 2022 points, joue en N3G. La cadette Miantsa a 14 ans, avec 1289 points, joue en N2D. Vraisemblablement, deux très bons élèves de 2nde après l’obtention du diplôme national du brevet avec mention TB.

Le Ping ? Une histoire de famille, évidemment !

Pourquoi sont-ils venus à Tours ? Après huit ans de comptabilité en entreprise à Caen, Samuel voulait faire autre chose. Passionné de  mécanique, il suit une formation et devient ainsi mécanicien auto. Pendant ce temps, il joue en N3 au club de Saint Pair Dricqueville, Miaro en pré-nationale et Miantsa en N3. Devant la difficulté de trouver un emploi à Caen, il cherche « la ville » qui pourrait lui en procurer un et prend contact avec des clubs de bon niveau. Son choix se porte sur Tours où on lui propose un job et sur la 4S Tours TT dont la structure, le niveau ont motivé son choix. Pour lui, la 4S Tours est « la référence ». Toute la famille dont son épouse Fenitra s’y sent bien intégrée, et comme dit Samuel « tout va bien ».

Une belle famille bien sympathique avec l’envie, la motivation, la joie de vivre. Alors, souhaitons-leur BIENVENUE au CLUB de la 4S !…

 

 

Jean-Luc Delarue

Cultures du Coeur et du Ping

L’accès aux droits culturels est un axe prioritaire pour Cultures du Coeur Indre et Loire. Cette mission est prise en charge par notre association qui participe ainsi à la mise en œuvre des politiques publiques. En réponse à ces besoins sociaux insatisfaits, le projet d’activité de l’association encourage la réalisation d’actions adaptées aux problématiques et aux ressources du terrain, concertées et co-construites avec les différents acteurs : relais sociaux, personnes bénéficiaires, opérateurs culturels et sportifs et structures institutionnelles. La mise en place de dispositifs de sortie de l’exclusion sera d’autant plus réussie qu’elle s’appuiera sur les compétences de plusieurs cultures professionnelles, à la fois sociales, culturelles et sportives. C’est tout naturellement que la 4S TOURS, club sportif citoyen a adhéré à ce concept! C’est Adelyne Goyer qui a reçu Bruno SIMON. A chacune de nos rencontres 10 places sont offertes à cette association

Découvrez ici cette association

AG et 50 ANS de la Ligue

La 4S Tours était en force pour cette assemblée générale extraordinaire, même si elle ne fut qu’ordinaire. En effet les festivités des 50 de cette ligue dont les noms ont souvent changé ont donné un autre caractère et une dimension à cette manifestation! Les quatrésiens étaient en force à différents postes…On n’oubliera pas celui qui était aux photos, l’ami Georges, qui comme a son habitude a su se placer au bon endroit pour nous faire vivre ou revivre cette AG 2018. Le Challenge Massaloux a été remporté par la 4S TOURS, tout un symbole en cette AG des 50 ans d’autant que la coupe a été remise par Anne Massaloux, devenue depuis Anne Ringenwald. Et pourtant il ne pleuvait pas sur la forêt ce jour là, bien au contraire!

Une rentrée tous azimuts

Braderie, Sport’ouvertes, Maryse Bastié en fête…La 4S TOURS sur tous les fronts avec plusieurs centaines de passants accrocs du ping ou souhaitant le découvrir. Anonymes ou élus se sont donnée parfois rendez-vous autour des tables. On a bien préparé la rentrée du coté de Saint François et lors des inscriptions cela s’est bien fait sentir avec les solde dela rentrée avec -10%. Rolande et marie Claire ont été débordées…

Butterfly et Promoping au sommet de l’Europe

Nos stages promoping montent en niveau…et personne n’en doutait, la preuve en est apportée par Céline Macé et Antoine Biston qui depuis le sommet du Mont Blanc ont fait la promotion de la marque et de nos stages tout en prenant un grand bol d’air pur…Ils n’étaient pas seuls!