Gérard Benaise nous à quittés
Ce notable blancois n’a jamais été licencié à la 4S TOURS mais tellement proche à plus d’un titre. Il ne vous a pas échappé qu’il était le père de Christophe, l’un de nos piliers du club. Dans certains moments si l’on a des objectifs il faut se souvenir d’où l’on vient… Christophe et ses parents font partie de notre histoire sportive.
Gérard avec sa bonhommie habituelle et son accent berrichon était apprécié de tous. Il a traversé la France pour accompagner son fils et les quatrésiens en régionale ou nationale sans compter son temps et souvent ses frais…Certes il le pouvait peut être mais il n’en était pas obligé et a surtout aider les finances de Saint Saturnin.
Il était toujours présent dans les grandes occasions et manifestations avec son épouse Madeleine en y ajoutant sa touche personnelle et sa pointe d’humour.
Il était passionné de sport, de tennis de table, de golf et vieilles voitures qu’il collectionnait et retapait…
Que de moments inoubliables pour les plus anciens du club et les proches : les tournois du blanc qui se prolongeaient tard et parfois dans le garage de Bernard Rigault, les week-end ou séjours passés à leur domicile blancois, les fêtes passés ensemble dont les réveillons, les dégustations de Pouligny au Kirsch du Blanc. Chez eux on était comme chez nous, notre couvert était toujours prêt comme notre chambre…La rue de l’Amiral BARJOT était un havre de paix, notre résidence secondaire berrichonne.
Le traderi dera restera un grand moment pour tous quand Gérard avec la complicité de Madeleine nous le proposait….Nous n’attendions que ça!
On saluera aussi en Gérard ce figurant aux côtés de Gérard Depardieu et Nathalie Baye dans ce film tourné en Berry : Michou D’aubert où il jouait à la belote dans ce bistro de campagne…
Oui la 4S perd plus qu’un ami….qui nous rappelle tellement de bons souvenirs que je vous invite à conserver à tout jamais! Gérard comme sa famille le valent bien!
Merci à toi Gérard, et ceux qui t’on côtoyé sont heureux d’avoir pu partager des moments du pur bonheur à tes côtes comme moi(mais vous l’aviez compris)